Je suis Charlie, je suis policier

policier

Après les deux policiers sauvagement assassinés dans l’exercice de leurs fonctions hier, c’est une jeune policière municipale qui est à son tour victime d’un tueur à Montrouge. Ces trois morts-là viennent hélas après beaucoup d’autres.

Les policiers des Alpes-Maritimes ont d’ailleurs payé un lourd tribut à cette folie meurtrière, même si c’était en d’autres circonstances (on peut voir sur ce blog, le billet du 27 septembre 2012, Valls rend hommage à Amaury Marcel, et celui du 22 octobre 2012, Capitaine Daniel Brière).

C’est pour cela qu’il est important que dans un pays où (contrairement à l’Angleterre par exemple) on n’a pas toujours pour les policiers le respect qu’ils méritent, les mentalités changent.

Les fonctionnaires de police participent d’un service public indispensable pour notre sécurité et nos libertés. Ils sont le bouclier des valeurs républicaines.

Dans cette guerre de la démocratie contre une frange de l’Islam radical, nos soldats sont en première ligne sur les terrains extérieurs. Mais, à l’intérieur de nos frontières, ce sont nos policiers qui sont au front.

Oui, « Je suis policier ».

A propos Patrick Mottard

Enseignant à l'Université de Nice (droit public) Président de l'association Gauche Autrement Président du Parti Radical de Gauche 06 Délégué régional du Mouvement Radical/Social-Libéral
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24 commentaires pour Je suis Charlie, je suis policier

  1. Fabienne Riganelli dit :

    Merci, je suis Charlie et je suis Flic

  2. parsus dit :

    aie voila un billet qui en partie ne me plait pas, en effet je suis un fervent défenseur de la police nationale, ministère régalien service public au service de la nation.
    quand un homme ou une femme prends la décision de faire se métier il connait les risques et en particulier de mourir en fonction.
    en cela nous leurs devont le respect.
    a l’inverse je suis contre les polices municipales, je trouve anormal que l’on donne se pouvoir de police a des employés communaux pour la plus part aux ordres d’un maire de droite comme de gauche et depuis peu a des maires FN.
    car c bien le maire qui donne les directives a sa police.
    et pourquoi pas lui donner un tribunal et une prison ????
    j’ai honte d’avoir un jour pensé que Chevènement était une homme de gauche.
    parsus06
    .

    • Même si je suis plutôt d’accord sur le principe… Quel est le rapport avec le mérite ou la conscience professionnelle des « municipaux »? Et surtout, difficile de choisir moment plus indécent! Amener ce genre de polémique sur le corps à peine refroidi de cette pauvre femme, ça dépasse vraiment l’entendement! Ce n’est pas parce qu’on a le luxe de pouvoir s’exprimer qu’il faut laisser passer toutes les occasions de se taire.

    • Bob dit :

      Bien dis mouton 😝

  3. Emmanuel dit :

    Moi je suis avec tous ceux qui défendent la République, la démocratie et la liberté d’expression.

  4. commandant Dromard dit :

    NO PASSARAN !

    (Pardon pour ce post très long, mais je pense qu’il faut prendre le temps – quand on en a la possibilité bien sûr – d’aller au-delà des formules de circonstance.)

    « Résistance » fait évidemment écho à celles et ceux – bien moins nombreux que la légende gaulliste a voulu le faire croire à la France de l’après-guerre, qui se sont opposés à l’occupant nazi. Bien peu pour tous et, du moins pour certains, bien tard…
    En réponse à la ratification du traité d’assistance franco-soviétique, le 27 février 1936, Hitler fit réoccuper la zone démilitarisée de la Rhénanie pour rétablir la souveraineté du Reich sur la frontière occidentale de l’Allemagne et continuer à transgresser les dispositions du traité de Versailles. Une telle action n’eut pour l’Allemagne aucune conséquence vraiment fâcheuse et constitua une nouvelle étape dans le programme d’Hitler pour refaire de l’Allemagne une grande puissance. Les puissances victorieuses et d’abord le Royaume-Uni se laissèrent apaiser par les assurances pacifiques du Führer, et c’est ainsi que fut perdue probablement la dernière chance de faire comprendre au dictateur par une opération militaire limitée quelles bornes il ne devait pas franchir.
    Certes, on ne peut pas refaire l’Histoire, mais il est fort probable que si – pardonnez-moi l’expression – on était « entré dans le lard d’Hitler et lui en avait mis plein la g…» dès cette agression – et de nombreux historiens soutiennent cette thèse – que l’Allemagne nazie (C’est presque, pour l’époque, une tautologie) aurait renoncé à ses ambitions hégémoniques et criminelles. On aurait ainsi évité une guerre mondiale et sans doute la domination du totalitarisme soviétique sur la moitié de l’Europe. On peut certes expliquer cette inertie par le terrible traumatisme de la Première Guerre Mondiale qui avait littéralement saigné le pays de ses forces vives, mais cela n’enlève rien aux responsabilités des dirigeants politiques de l’époque, à commencer par la signature du pacte germano-soviétique, ce qui n’a pas empêché les petits camarades français de soutenir l’URSS quasiment jusqu’au bout. (Et l’on constate qu’ils n’ont toujours pas eu la décence de changer le nom de leur parti croupion).
    Mais comme l’a prédit Churchill au lendemain des accords de Munich de Septembre 38 « Le gouvernement avait à choisir entre la honte et la guerre, il a choisi la honte et il a eu la guerre. » .
    Néanmoins, la leçon, aussi dure qu’elle ait été, n’a pas porté.
    Suite à l’envoi de Mutawas saoudiens en Afghanistan pour aider le gouvernement des talibans à former leur police de répression du vice et de promotion de la vertu, le gouvernement taliban fut convaincu de démolir les Bouddhas de Bâmiyân, sachant que toute représentation humaine est interdite par la doctrine islamique. En 2001, après avoir survécu relativement épargnées durant plus de quinze siècles, avoir assisté à la destruction de la ville de Bâmiyân par les Mongols de Genghis Khan en 1221, avoir subi l’occupation russe, les statues sont décrétées idolâtres par Mohammed Omar et les talibans les détruisent au moyen d’explosifs et de tirs d’artillerie. En mars 2001, les deux statues avaient disparu après presque un mois de bombardement intensif, causant certes une vive émotion de par le monde, mais sans plus.
    Pendant l’opération de destruction, Qadratullah Jamal, le ministre de l’Information taliban, déplora que « ce travail de destruction n’était pas aussi facile que les gens pourraient le penser. Vous ne pouvez pas abattre les statues par quelques coups de canons car toutes deux sont découpées dans une falaise et sont fermement attachées à la montagne. » Après la destruction, le mollah Omar déclara qu’il était « fier de tous les taliban qui avaient participé à la destruction de cette horreur impie synonyme d’une religion pour dégénérés ».
    Le 10 mars 2001, les talibans donnent l’ordre aux artificiers pakistanais et saoudiens issus de leurs rangs de détruire à l’explosif ce qui restait des deux statues.
    J’invite à aller revoir la vidéo de cette infamie et de cet assassinat culturel : la chute des bouddhas géants et verticaux préfigure étonnamment celle des tours du World Trade Center quelques mois plus tard, et, pour ma part, je ne pense pas que ce soit un hasard.
    Si les démocraties occidentales (Des démocraties « orientales», il n’y en a pas des masses, notamment au Moyen-Orient. En fait, il n’y en a qu’une, en plus peut-être, on verra dans l’avenir, de la Tunisie) avaient réagi massivement, dès cette atteinte frontale à la liberté de penser, de croire et de créer, à la culture des autres, nous n’en serions pas là aujourd’hui. (Même si certaines démocraties occidentales, à commencer par l’Amérique de G.W. Bush, ont leur part de responsabilité dans la situation actuelle)
    Et à une échelle plus modeste, mais importante pour nous, à savoir celle de la France, petit à petit, on a cédé sur tout : le « droit à la différence » à mené à la différence des droits (par exemple, la tolérance de la polygamie dans certaines communautés, l’utilisation d’enfants pour mendier, etc…), le port du voile, notamment dans les universités, les repas dans les cantines, les jours de piscine organisés par sexe, les consultations d’hôpital « encadrées » par les maris, la tolérance et l’excuse préalable de toutes les dérives « justifiées » par l’ « exclusion ». Et, dernière en date, la demande de reconnaissance, votée par les 2 majorités socialistes à l’Assemblée Nationale et au Sénat, d’un « État Palestinien », par la France, alors que la gouvernance palestinienne est noyautée par une organisation terroriste, le Hamas, dont le but avoué est l’éradication d’Israël et de son peuple, et qui détourne à son profit l’aide internationale au lieu de s’en servir pour améliorer le sort de la population. Qui peut être assuré que cet État, fort de sa légitimité, ne deviendra pas une sorte de Corée du Nord du Moyen-Orient ?
    Si encore cela n’était dû qu’au noyautage du PS initié en 1986 par les Trotskistes et dont l’arrivée à la tête de ce parti du sectaro-lambertiste Cambalélis est la preuve évidente (et je n’oublie pas le cas Jospin), on pourrait encore en rester à la controverse idéologique et croire aux justifications hypocrites de ceux qui ont dit que cela favoriserait la paix (Comme si des parlementaires de la – aux dernières nouvelles – 6ème puissance du monde – en sursis qui plus est pour nombre d’entre eux – pouvaient quelque chose à la situation au Proche-Orient) Mais non, ce n’est que de la stratégie politique, de l’électoralisme pur et simple : récupérer les votes des banlieues puisque le PS a perdu celles de ses électorats traditionnels à force d’atermoiements, de renoncements, de louvoiements tactiques et de « synthèses » suicidaires, et que celles du PC sont passées au FN. « Place au Peuple » disait Mélenchon ?

    Tout cela a accumulé les signes de faiblesse de notre Nation (Car je dis « Vive la Nation » comme l’ont crié ceux de Valmy), de notre Démocratie, de notre République et de leurs valeurs fondamentales, avec cette originalité issue de 1789 et de la Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen, dont le cœur est la liberté de pensée et d’expression, consubstantielles de la laïcité.
    Soit on s’y soumet, soit on se démet de son appartenance à notre Nation. Les portes sont ouvertes dans les deux sens. Il ne manque pas de pays pour bénéficier des délices de la Charia.
    Contrairement à ce que l’on proclame dans les milieux bien-pensants, autours d’un verre dans les bistrots bobos, chics et branchés de Paris, les Français et de plus en plus d’Européens (y compris les Suédois, « modèles» en matière de tolérance facile à monter, mais à l’évidence peu solides comme leurs meubles) n’ont pas de problème avec les « étrangers ». Ils ont un problème particulier avec ceux qui veulent imposer la prise en compte de leur religion dans la sphère publique et modifier ainsi les fondements mêmes du pacte républicain.
    Comme l’a dit un penseur arabe laïc (Et oui, cela existe), la différence entre un musulman et un islamiste, c’est que le premier « s’occupe de sa relation avec Dieu alors que le second se mêle de la relation de ses voisins avec Dieu ».
    Et quand on parle d’ « Islamophobie », on réintroduit de facto, et même quasiment de jure, la délit de blasphème, ce qui est en totale contradiction avec les fondements philosophiques, politiques et juridiques de notre Constitution
    Et à ceux, tels le trotskiste Edwy Plénel, pétri de la haine de soi, qui prétendent que chaque musulman n’a pas à se justifier des atrocités commises par les barbares qui se réclament de cette religion, je réponds que ce ne sont pas les laïcs qui ont créé la notion de « Oumma », donc de structure d’appartenance et de solidarité supérieure à celle de la Nation, ni celle de « Français musulman » (et je suis quoi, moi, un « Français laïc » ?) C’est comme cette c…. médiatique de la coupe du monde de foot de 1998 avec la « France « Black, Blanc Beur». Mais moi, je refuse d’être catalogué par la couleur de ma peau ou mon origine ethnique ! Je n’appartiens pas à une communauté, je suis un « citoyen français », point barre.
    Car dans la République, s’organiser politiquement s’entend, en « communauté », autours d’une ethnie ou d’une religion, c’est se désigner comme « à part » dans cette république. Il ne faut donc pas s’étonner d’être stigmatisés par ceux qui tiennent à la République telle que définie par ses fondements philosophiques et institutionnels.
    (C’est récupéré par le Front National ? Et alors ! Les luttes respectives contre ces deux ennemis de la démocratie, qui se nourrissent l’un de l’autre, ne sont pas, que je sache, incompatibles.)
    La liberté d’expression, la liberté de presse, la laïcité, tout comme la République, ne se divisent pas.
    C’est contre cela qu’il faut résister, partout, chaque fois, et ne pas reculer d’un pouce, avec tous les moyens légaux dont nous disposons ou devrions disposer. Et quant à nos élites intellectuelles, nos politiciens, nos journalistes, ils doivent se garder – et je ne suis pas certain que cela soit toujours le cas – de toute auto censure, au nom de la bien-pensance, du politiquement correct et de l’élargissement de leur base électorale. Ceux de Charlie Hebdo ne l’ont jamais fait.
    Et elles doivent, sans délire sécuritaire, mais aussi sans angélisme, mettre à jour un appareil répressif à la mesure de la menace. Il est permis de s’interroger sur la liberté d’agir dont jouissaient les suspects étant donné leurs agissements passés. Comme toujours, on nous répondra qu’ils ont été traités selon la législation en vigueur. Et bien, il faut changer la législation. Cela sera plus utile au pays que le vote de lois plus ou moins « sociétales » plus racoleuses qu’indispensables.
    Nous le devons à ceux qui ont combattu pour notre liberté de Juin 1940 à mai 1945, et nous le devons à ceux qui ont été assassinés le 7 janvier 2015.

    Plus jamais ça !

  5. Marco Moravia dit :

    Oui, nous sommes Charlie, nous sommes Policiers. Ils méritent la reconnaissance et le respect pour leur travail à haute risque; la preuve bien triste encore une fois.

  6. Sophie Mancel dit :

    Les policiers sont les garants de notre sécurité et de notre liberté. Respectons leur professionnalisme et leur courage.

  7. Bob dit :

    Bonjour,
    Profondément touché et triste je suis de tout cœur avec les familles des victimes, policiers qui ont encore fait le don ultime à la République, stars du crayon acerbe mais aussi anonymes dont la perte est tout aussi grande pour leur parents et amis.
    Condoléances.

    Je suis totalement d’accord avec Bernard Gaignier (commentaire du billet d’hier) il incombe aux « vrais » musulmans de nettoyer leur religion si belle de ces &€@!#%$^%# d’extrémistes et fondamentalistes. Toute autre action venant de l’extérieur virerait à la guerre de religion. Il va de soi qu’ils devront trouver auprès de l’Etat républicain un actif soutien, en lieu et place des petites et grandes lâchetés de circonstances trop souvent rencontrées. »

    Nous entrons en Résistance ? Je propose comme premier acte que tout les quotidiens de France et d’ailleurs de reprendre en une un des dessins de Charlie afin de montrer qu’on ne musèle pas l’esprit Français et la Liberté (dommage que les quotidiens US aient décidés de flouter les dessins dans leurs pages… No comment).

  8. Le Mouton enragé dit :

    Il était temps que quelqu’un le dise. Bravo pour l’avoir fait.

  9. Emmanuelle T dit :

    Merci ! pour leurs courage !🇷

  10. E P dit :

    Le combat continue.

  11. Christophe Baudrion dit :

    pourtant c est pas toujours mes potes , mais bon y a des moments ou faut pas hesiter !!!

  12. Il a toujours été de bon ton, dans une certaine gauche, de se moquer ou d’insulter (de loin) la police (Merci Coluche). (J’invite les « anti flics » à aller voir ce qui se passe dans un pays sans police ou bien là où elle est totalement corrompue).
    Il ne faut certes pas confondre « État policier » et « État policé ». Et il en est évidemment de la police comme de la société : on y trouve le pire et le meilleur.
    Je ne dis pas qu’il fait tirer sur tout ce qui porte une casquette, un survêt de marque et des Nikes, mais quand je vois, dans ma petite ville qui n’a pas – et de loin – l’ambiance d’un « quartier sensible » (Bel euphémisme pour désigner un endroit où les lois de la République ne s’appliquent pas) les provocations quotidiennes que subissent les policiers municipaux de la part de jeunes se cachant à peine pour dealer à la sortie du collège, je me dis qu’ils ont beaucoup de sang froid, d’abnégation et de courage, surtout quand on connaît leur salaire, et cela s’étend bien entendu, a fortiori, à l’ensemble des forces de l’ordre de notre pays.
    Par le temps qui courent, et ce qui à l’évidence nous attend, ce n’est pas un luxe.
    Or, on peut encore le constater ce soir dans l’issue fatale pour les terroristes. : ils prennent beaucoup de risques et sont de grands professionnels car les otages sont été libérés sains et saufs : chapeau bas !
    Cependant, on a appris hier que de toute évidence, la police, dans son ensemble, n’avait pas – et de loin – les moyens suffisants à l’accomplissement de toutes ses missions et, ce même jour, on a également appris que Manuel Valls avait l’intention de pérenniser le statut surprotégé d’assistanat à des « artistes » autoproclamés qui, comme disait Desproges « n’ont pas de succès parce qu’ils n’ont pas de talent ». Bien sûr, la « culture » (pardon, avec un grand C) va servir d’alibi alors qu’en fait, c’est parce que les intermittents et ceux qui les soutiennent (un peu moins cependant quand ils leur pètent leur soirée avignonnaise et qu’ils ont fait 1 heures de bagnole pour rien depuis leur mas du Lubéron) votent plutôt à gauche (et d’ailleurs plutôt Mélenchon ou écolo que socialo), alors que les flics votent plutôt à droite.
    Amusant, non ?

  13. Bob dit :

    Dromard essaye de faire court des fois ça serait moins indigeste !
    Je ne t ai pas lut (trop long) seulement en diagonale…
    Je m’interroge du coup…
    Comment en partant de ces événements tu en arrive à parler du statut des intermitants du spectacle ? Souplesse de l’esprit ? En la matière tu es un veritable contorsionniste !!! Respect.

    • Valérie Expat From Nice dit :

      Bob, pourquoi vouloir couper la langue de Dromard ???? !!!

      Il a le grand mérite, du haut de sa très remarquable culture et de sa sa fine intelligence, de nous renvoyer à nos incohérences, nos parfois mauvais choix, notre ignorance. Et nous renvoyer à cela ne peut tenir en 140 signes …

      Face à ce qui nous arrive aujourd’hui et qui n’est sans doute que le début d’une terrible période, on ne peut plus se contenter de se payer de mots et de slogans (oui, oui, nous sommes Charlie comme nous étions hier tous des juifs Allemands) et d’aller allumer des bougies au pied du Génie de la Liberté, place de la Bastille.

      Il va nous falloir revoir nos fondamentaux.

      Merci à Dromard d’appuyer là où cela devrait nous réveiller.

    • Bob dit :

      Boaf pas la couper ch´ui pas un fanatique qui coupe tout ce qui dépasse mais la reduire…!
      Sont action louable de nous rendre moins ignares n’en serait que plus efficace en étant un chouya synthétique…
      😋

  14. Ipanema dit :

    Ces criminels fanatiques auront au moins rendu un service à la Police, des remerciements et des hommages !!!!
    Comme quoi, il ne faut jamais désespérer, tout arrive …bref, ce sera bienvenu après le Sieur DROMARD….MERCI, tout simplement !!

  15. bernard gaignier dit :

    Il y a quelques semaines lors de la mort de ce militant « pacifiste » sur les lieux de construction du barrage une image m’avait horrifiée: celle du gendarme qui prend feu suite à un engin incendiaire envoyé par les pacifistes… et ceux ci d’applaudir. mes pensées sont allées à ce gendarme.

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  17. Rita Gosti dit :

    Bravo Patrick j’ai une amie la trentaine policier ds une brigade importante à Paris ..Un bon flic et en plus jolie comme un coeur…Je la connais depuis petite, mrd ça me rajeunit
    pas, !

  18. Gertina van der Merwe dit :

    We admire the courage of the security forces and wish them good luck and fortitude in their work. I pray for their safety because I also have son in the British Army.

  19. Fabienne Riganelli dit :

    comme quoi, être de gauche, n’est pas incompatible avec le respect de notre profession

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