Cette journée aurait dû être une parenthèse universitaire au milieu de la déferlante de la campagne électorale. Mais de parenthèse il n’y a pas eu car j’ai dû, dans le cadre de mon cours d’Introduction au droit, organiser le vote des délégués d’amphi. Un vote avec urne, bulletins et liste d’émargement… Tout ce qu’il fallait pour replonger dans le monde vibrionnant de la démocratie élective !
Heureusement que ce jour fut aussi celui où une étudiante bulgare m’a fait cadeau de la martenitza rouge et blanche, porte-bonheur annuel et printanier de son pays. Depuis une dizaine d’années, il y a toujours un étudiant du pays des roses pour me faire ce présent (voir, sur ce blog, le premier billet que je lui ai consacré).
Espérons en l’efficacité de la martenitza de 2015 au cours de ce joli mois de mars !
C’est une vraie collection alors?
Je souhaite qu’il vous porte chance, on en a vraiment besoin!
La martenitza est aussi représentée par deux personnages populaires : Pizho , l’homme, en blanc et Penda, la femme, en rouge… Le couple, la parité, encore des signes. Puisqu’on nage en pleine superstition…
Baba Marta, la Mamie de mars, nous sourirera tous à nouveau..avec ce beau printemps symbolique bulgare..
la rose de damas récoltée à l’aube…
On dirait une chanson de Sylvie Vartan !