Monseigneur André Marceau, le nouvel évêque de Nice, originaire de Perpignan et supporter (un peu contrarié) de l’USAP, a décidé d’apprendre la réalité sociale de son nouveau diocèse en allant à la rencontre des femmes et des hommes de celui-ci, décideurs ou non, paroisse par paroisse.
Conseiller général d’un territoire où se trouve le siège de l’évêché, j’ai été associé à deux de ces initiatives.
C’est ainsi qu’il y a deux semaines, j’ai participé avec Monseigneur Marceau et un groupe de paroissiens de Jeanne d’Arc à un débat fort intéressant sur le sens de l’engagement dans nos quartiers de Nice Nord.
Hier, accompagnés de deux historiennes de la paroisse Saint Barthélemy, nous avons gravi la colline, visité, avec son directeur, la Villa Arson et fait un tour dans le cimetière où repose Madame Maupassant. Avant de prendre un café dans le cadre quasiment toscan du petit cloître qui jouxte l’église.
Ce quasi tête-à-tête de plus de deux heures m’a permis d’évoquer les spécificités du quartier et d’offrir au nouveau venu mon « 5 de cœur ». En tout cas, il fut enrichissant pour moi et, je l’espère, utile à l’évêque. Pour le candidat, il restera comme une parenthèse paisible dans une campagne électorale qui reprit ses droits en fin de journée… sous la pluie.
Un évêque simple et cordial avec lequel j’ai eu le plaisir de déjeuner au printemps dernier.
Bravo Patrick pour l’article! Je le rencontre vendredi.
Comment peut t’on trouver du bon sens à quelqu’un qui soutient l’USAP
Pas plutôt l’UPSA ?
Décidément, il rencontre tout le monde cet évêque! Moi aussi je veux le voir!
Très bonne initiative, nous à Asnières on n’as pas encore notre évêque..
Pierre