De la Baie des Songes à la Baie de Guanabara

JAM Dans le cadre très « Saint Germain des Près » du JAM dans le quartier de la piétonne, le Chocolat littéraire de l’association Brasilazur était consacré à « Baie des Songes » au prétexte (bien sympathique) qu’une séquence d’une des nouvelles se passe à Rio de Janeiro. Malgré la conjonction bien française vacances-pont-week end les fidèles de l’association étaient présents.

Avec talent et bienveillance, la présidente Filomena Iooss a passé l’ouvrage aux rayons X. Du coup l’auteur en a appris de belles sur lui-même ! Comme quoi la critique littéraire peut vous faire économiser le psy…

Il fut notamment question d’engagement et de destin ; de quoi rentrer chez soi tout songeur après toutefois une belle séance de dédicaces.

Ajouté le dimanche : suite à cette présentation, on peut trouver une critique sur le site « Littérature portes ouvertes« 

A propos Patrick Mottard

Enseignant à l'Université de Nice (droit public) Président de l'association Gauche Autrement Président du Parti Radical de Gauche 06 Délégué régional du Mouvement Radical/Social-Libéral
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7 commentaires pour De la Baie des Songes à la Baie de Guanabara

  1. Fabienne Riganelli dit :

    Musique et littérature, décidément, le JAM devient incontournable !!

  2. véro dit :

    J’ai donné récemment à mes élèves un tel sujet de réflexion : l’artiste est -il maître de son œuvre? Eh bien…aucun ne s’est contenté d’en rester à l’évidence d’un oui! On en revient un peu inévitablement ( entre autre ) à l’idée que le moi n’est pas maître dans sa propre maison. Mais comme il existe d’autres royaumes et apparemment aussi des principautés…

  3. Joli Vero …surtout le coup de la Principauté !

  4. Ping : Les nouvelles niçoises de Patrick Mottard | Littérature portes ouvertes

  5. ggunice dit :

    Merci encore pour être venu parler de votre livre et pour votre dédicace.

  6. Delphine dit :

    Et oui, les mots sont libres, la lecture aussi et l’oeuvre créée a sa propre vie. Certains même se désespèrent de ne pouvoir être maître de ces mots: « La parole humaine est comme un chaudron fêlé où nous battons des mélodies à faire danser les ours, quand on voudrait attendrir les étoiles ».

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