C’est toujours un moment émouvant que celui où on écrit le mot Fin. Après Fragments de Nice, Sur un air de cithare (deux versions), Premier Mai : Place Maurice Thorez, Le Christ rédempteur de Rauba Capeu, Travel anecdotes et Maria et le kiosque à musique (une centaine de représentations dans cinq théâtres différents), c’est la septième fois que je vis ce moment privilégié.
Cette pièce, librement inspirée de ma nouvelle Les nuits du vallon du Roguez extraite du recueil Baie des songes, s’intitule La caresse de Marlène. Il y sera question du bilan d’une vie, de la communicabilité entre les humains, des rendez-vous manqués, de quelques bulles de bonheur et de l’histoire d’amour entre Marlène et Gaëtan qui est le véritable héros de l’histoire.
Fabienne Colson, avec laquelle j’ai déjà travaillé sur deux (beaux) spectacles, aura la responsabilité d’une mise en scène forcément délicate (avec ma culture cinéphilique, je ne sais pas faire simple, je suis donc le cauchemar des metteurs en scène, mon ami Bernard peut en témoigner !). Pour la distribution non encore arrêtée, je vais pouvoir compter sur l’équipe des comédiennes et comédiens talentueux de la troupe de L’Eau Vive. Et tout cela pour un spectacle programmé assez tôt dans la nouvelle saison.
En écrivant ce fameux mot (Fin), je me dis que finalement le travail de l’auteur est assez cool : après cet ultime « effort », il ne me reste plus qu’à vibrer devant le travail des autres ! J’adore mon métier qui en plus n’en est pas un !
Quel titre plein de glamour !
et si énigmatique ! on peut tout imaginer
c’est le cas …TOUT !
Impatient de la découvrir…😘
Sylvie et moi attendons avec impatience………..
On sera là !!!
J’en profite pour te signaler ( et à Anticor), le scandale de l’opération AzurTV , subventionnée à 90% par la Ville et Métropole et qui vient d’être l’objet d’une transaction financière purement capitalistique. Un history case : comment être entrepreneur avec l’argent public et faire une opération spéculative à son profit ( privé, of course). Amicalement. renato