C’est devenu un rituel : généralement en prélude à une dédicace à la librairie Masséna, je retrouve mes éditeurs Eric Louis et Valerie D’amodio Redonnet, « Les Enfants du Paradis », à la Casa Nissa de la rue Gioffredo pour la remise des premiers exemplaires de ma nouvelle pièce.
Aujourd’hui, il s’agissait de ma sixième pièce éditée (d’autres spectacles ont été extraits de mes livres publiés par d’autres éditeurs) et, pour La caresse de Marlène, l’émotion était toujours au rendez-vous. Aussi forte.
Un remerciement appuyé à Laure Gauffridy pour sa couverture une fois de plus si fidèle à l’esprit et à l’atmosphère de la pièce.
Il vous reste deux options : soit lire la pièce avant le spectacle, soit l’inverse. Même si j’ai conscience que l’auteur est un peu gonflé de ne pas envisager d’autres options. J’ai quand même une excuse : l’accueil que vous avez réservé à l’écrit comme à l’oral à mes précédentes pièces.
Programmation de « La caresse de Marlène » (théâtre de L’Eau Vive) :
Première semaine : jeudi 30 janvier à 20 h, vendredi 31 janvier et samedi 1er février à 21 h, dimanche 2 février à 16 h.
Deuxième semaine : jeudi 6 février à 20 h, vendredi 7 et samedi 8 février à 21 h, dimanche 9 février à 16 h.
(Les lecteurs de ce blog peuvent réserver directement auprès de moi aux conditions de Billet-réduc dès maintenant).
Encore une fois, le thème de fond est intéressant.
Pour un croyant, la cause est entendue: l’amour est plus fort que la mort.
Mais pour un auteur de pièces de théâtre? Est-il le plus fort?
Être ou ne pas être, là est la question…
Je sais, un autre l’a dit avant moi, mais en anglais, ça ne compte pas.
Bref, j’ai hâte de lire en février que Patrick MOTTARD a totalement raté la guerre d’Espagne, sous la plume d’un critique revanchard; ou mieux: « N’est pas Shakespeare qui veut »… par exemple.
Rien que cela, ça vaudra le déplacement.
A noter pour fin janvier, après l’indigestion des vœux de nouvel an et des galettes des rois.
Juste au moment où tombe la paie. Hasard magnifique, voire providentiel…
C’est noté.
Reste à réserver.
Merci Patrick pour la petite attention sur le blog 😀😁
Quoi !!! je ne suis pas Shakespeare…je vais de déception en déception ! j’ai bien besoin de ta fidélité mon cher Didier !
Je sais. Même pas ORWELL, il paraît…
Reste Oscar.
Oscar WILDE, qui nous disait: Soyez vous-même, les autres sont déjà pris !