Cette année, l’événement réalisé dans le respect absolu des règles sanitaires (le buffet a même été servi aux spectateurs… à leur place !) avait comme fil conducteur un petit film réalisé sous forme de road movie. Sous un prétexte futile – la distribution des programmes à travers la ville de Nice aux acteurs de la saison – Sylvia Scantamburlo et Thomas Santarelli nous ont offert une série de séquences d’une drôlerie absolue. Ces deux-là devraient franchement creuser leur complicité, il y a là matière à spectacles… en circuit très court pour la Cité.
La soirée fut aussi l’occasion de revenir légitiment sur le succès estival de La Castellada (voir sur ce blog le billet du 12 août 2020). Mais la priorité fut donné, et c’est bien normal, à la cinquantaine de spectacles proposés. Parmi ceux-ci j’ai eu la fierté de noter la reprise de La caresse de Marlène, ma dernière pièce (le 7 février à 18 h, qu’on se le dise !). Mais je suis avant tout un spectateur (même si je représentais le maire), aussi ai-je repéré trois spectacles dans la très riche programmation, trois spectacles dont j’ai eu le plaisir de parler avec les auteurs ces derniers jours, trois spectacles que j’attends avec impatience :
Un nénuphar dans ma baignoire d’Émilie Pirdas, La belle Otero de Christophe Turgis, L’illusion conjugale avec Sophie Tournier. Je me permets en plus de recommander Phèdre et Hippolyte dans la mise en scène à la fois sobre et riche de la compagnie Hidraïssa et que j’ai vu il y a quelques mois à L’eau Vive.
Et comme j’ai remarqué hier soir que la bande à Surace ne détestait pas le jeu de mots pourri, je me lance : devant une telle programmation, il y a de quoi être ex-Cité !
Merci pour ces chaleureux retours à Patrick Mottard ! La saison démarre de la plus belle des façons ! Y a plus qu ‘à…
Un grand merci Patrick pour le coup de projecteur sur nos spectacles, pour ton soutien éclairé et chaleureux
Merci Patrick ! Hâte de jouer !
Merci Monsieur!