Nous étions approximativement dans les années 2005-2006, j’étais le Président du groupe d’opposition (14 membres, excusez du peu !) à la mairie de Nice dirigée par Jacques Peyrat. Un jour, un journaliste du Figaro me demande une interview : il s’appelle Eric Zemmour. Rendez-vous fut pris le dimanche suivant dans une brasserie située en face de la gare de Nice.
L’entretien dura à peu près une heure. À aucun moment le journaliste ne laissa paraître sa probable sympathie idéologique pour le maire de Nice. Ce fut donc une séquence très professionnelle avec un homme courtois, plutôt curieux et au fond peu « parisien ».
Éternel Fabrice à Waterloo, je me dis avec le recul, qu’à défaut d’anecdotes piquantes ou de révélations fracassantes j’ai peut-être manqué l’occasion d’être en avance sur l’actualité voire sur cette Histoire qu’il est si difficile de tutoyer.
Et comble de malchance, j’ai même perdu l’article du Figaro.
o tempora …