Au jardin Albert 1er, nouvelle séance météo à consonance cinématographique : les exposants ont dû jouer à Autant en emporte le vent une bonne partie de la journée. Sous les effets de la bourrasque, il fallut plusieurs fois retenir et parfois récupérer livres et calicots.
Sinon la journée fut parfaite, peut-être la première véritable journée de festival comme avant le Covid. Chouchoutés par les responsables et les bénévoles (dont le fils d’une actrice célèbre) de notre librairie de Borriglione Les journées suspendues, nous avons dédicacé à tour de bras (voir ci-dessous un échantillon de tous ces lecteurs). Le feutre acheté le matin à mon marchand de journaux était vide en fin de journée.
Le moment précisément de la récompense : terminer la séquence de ce samedi en compagnie de la solaire Isabelle Carré. Ce qui me fera dire in petto à l’instar du Président Bartlet dans The West wing : « j’adore mon métier ».







