Je n’ai pas un amour immodéré pour les réseaux sociaux mais il faut reconnaître qu’ils nous offrent parfois de belles surprises. Ainsi mon dernier billet sur ce blog m’a permis d’opérer, avec la complicité de ma « cousine » Valeria de Buenos Aires, la jonction généalogique entre les Mottard de Savoie et les Mottard d’Argentine.
Suivez bien : mon arrière-arrière-grand-oncle, Jean-Louis Mottard (1812-1888) d’Albanne en Savoie, est, d’après les documents échangés, le cousin de Jean-Baptiste Mottard (1830-1884), premier du nom à émigrer d’Albanne en Argentine. Il a fait cela avec son épouse Marie-Henriette Tetaz (1827-1895), elle aussi originaire d’Albanne et donc cousine de mon arrière-arrière-grand-tante, Anne Victoire Tetaz née en 1816. Reste à peaufiner tout cela mais l’essentiel du travail est fait. Donc félicitations à Valeria et à mes parents auteurs de ce travail minutieux.
Reste à savoir pourquoi Jean-Baptiste et Marie-Henriette sont partis pour la lointaine Argentine? Probablement pas pour danser le tango comme je le suggère malicieusement dans mon titre. Plus vraisemblablement pour fuir la misère et l’instabilité politique de l’époque en Savoie. J’en veux pour preuve que le frère de Jean-Louis, Blaise (né en 1824), mon arrière-arrière-grand-père, a quitté Albanne à la même époque pour la Bourgogne.
Je comprends enfin pourquoi j’ai toujours préféré Lionel Messi à Ronaldo !
Si j’ai bien compris, mais j’ai du mal à le croire, tu attendais le Messi…
Alors les branches de l’arbre se sont enfin réunies!
Salutations de l’Argentine, je suis un descendant de Jean Baptiste Mottard, le fondateur de Colonia Cayasta.
Votre nouvel ami Facebook
superbe Denistiz !
Tu m’as fait pleurer d’émotion. Savoir d’où nous venons nous remplit l’âme. Je savais qu’on avait quelque chose en commun cousin. À propos de leur voyage en Argentine, je vais te passer des informations avec des documents. Ils fuient une époque compliquée. Merci pour votre contribution et votre bonne énergie afin que nous puissions relier l’histoire et apporter à nos successeurs des informations. Tu seras toujours le bienvenu à Buenos Aires avec ta femme. Salutations et continuer à enquêter.
Bonjour jeune homme ! Je pense là que c’est beaucoup grâce aux réseaux dits sociaux que j’ai retrouvé ta trace et que s’il avait fallu compter sur les PTT, nous ne serions encore loin de nous écrire et nous retrouver. Maintenant, concernant la généalogie, j’apprécie de savoir mais reste sur ma faim avec un nom et deux dates, enfin c’est toujours çà mais en savoir plus, là est le challenge.